Une semaine plus tard, Nolwenn se retrouvait au port du Royaume. Son cousin discutait avec quelqu'un. Déguisée en marin, elle monta discrètement à bord du bateau et alla se cacher dans une cabine identifiée à RÉSERVÉ. C'était là que son cousin lui avait indiqué d'aller. Après avoir guérit la blessure de l'homme qui était venu la voir une semaine auparavant, Nolwenn avait finit ses bagages et elle s'en était allée. La bateau allait la mener vers le royaume de Divermyne. Elle ignorait dans quel royaume elle atterrirait, mais, au moins, elle serait loin de tout ça. Sa vie à Oma serait terminée et tout irait pour le mieux pour elle. Elle sentit que le bateau commençait à voguer sur les flots. Son cousin venait lui porter le repas et si elle avait besoin d'autre choses, elle montait et allait le chercher dans son déguisement de mari. Nolwenn s'était crée une voix d'homme, tout cela allait bien.
Personne ne lui posa de questions pendant toute la traversée. Puis elle arriva sur le continent de Divermyne. Cela faisait deux semaines que cette mascarade durait. Son cousin lui annonça qu'elle était dans le royaume de Mistal et qu'elle devait s'y enfoncer pour se retrouver vraiment en sécurité. C'est donc ce qu'elle fit. Jamais elle n'aurait cru qu'elle y arriverait et pourtant, elle y était arrivé.
- Merci, dit-elle à son cousin avant de partir avec ses affaires sur son dos, toujours déguisée en marin.
Au bout de quelques kilomètres, elle se cacha dans un champ de s'habilla correctement, comme une vraie dame. Elle rencontra de nombreuses personne sur la route avant de trouver une village suffisament enfoncé pour pouvour s'y établir. Elle trouva une maison abandonnée qui avait sûrement apartenu à un homme pour qu'il y ait autant de vêtement masculins. Il y avait aussi de nombreux objets qui semblaient avoir été volés. Elle avait beau l'ignorer, elle se trouvait dans la maison d'Aethan qui avait été aperçu la main dans le sac alors qu'il volait quelque chose au château du royaume... C'est pourquoi quelques jours plus tard, quelqu'un cogna à sa porte...